Bon, il faut l’avouer, ce blog pue le sérieux. Je pense que pour faire quelque pause un peu plus light, il va falloir ne compter que sur moi. C’est vrai quoi, je suis quand même un peu la plus OUT du concept de l’Absolute Zone. tu vois, public, je t’aime, et c’est pour toi, que je me fais ce mal : Garder au maximum mon sérieux pour poster un article pas trop moche. Je sais, tu te dis que c’est déjà raté, que ce que je viens d’écrire est ignoble. Ne parle pas trop vite, je suis une fille surprenante !
Bref, Je vais oeuvrer dans ma rubrique préférée içi, la rubrique GEEK. En ce moment, c’est fou ce que ça me colle à la peau ! J’ai fait la découverte d’un concept d’émission hors du commun, incroyable, génial, divin. Une émission de cuisine ! Oui oui oui monsieur ( madame ? mademoiselle ? on s’en fout ).
Tu aimes les jeux vidéos, tu aimes rire, tu aimes manger et tu es nécrophile ? Cette émission est faite pour toi.
Au risque de me démarquer de mon cher confrère Xidius, je vais vous parler maintenant d’un artiste monstrueux: Ray Charles.
Il est de ceux que l’on pourrait mettre dans une liste de légendes (mortes pour le coup), liste bien trop longue pour que je puisse me permettre de la mettre sur cet article. C’est tant au niveau de sa musique qu’au niveau de son histoire personnelle que Ray Charles est un personnage extraordinaire. (Je remercie en passant Xidius qui m’a filé l’album Basie Swings )…
C’est en Géorgie, un Etat du sud des Etats-Unis que Ray Charles nait en 1930 dans une famille pour le moins très pauvre. Son enfance est marquée par deux faits importants: il assiste à la noyade de son frère de manière impuissante et il devient, à l’âge de 7 ans, totalement aveugle. Durant neuf années, il va apprendre dans une école spécialisée la composition et le piano ainsi que d’autres instruments. Les débuts de Ray Charles sont plus que compliqués, il va de villes en villes sans rencontrer de succès.
Cependant, c’est à Seatle, en 1947, que l’artiste va commencer à se faire connaitre, notament en se produisant. C’est aussi à cette époque qu’il rencontre Quincy Jones. A partir de là, la carrière de Ray Charles va décoller littéralement, jusqu’à sa mort en 2003, en laissant derrière lui des chansons immenses ainsi qu’une quarantaine d’albums.
Si Georgia On My Mind est l’un des plus grands titres de Ray Charles, c’est aussi grâce à la dimension émotionelle de cette chanson, qui fait allusion aux racines de l’artiste.
Hit The Road Jack est l’autre grand titre de Ray Charles. Reste à savoir si c’est le meilleur, je ne le pense pas, tant il laisse derrière lui d’autres chansons moins connues mais au moins aussi géniales…
Que peut-on rajouter? Que c’était un homme à femmes, ou bien qu’il était dans la réalité assez peu sympathique (mais bon, regardez Sinatra, c’était un pourri, mais quel génie!). Après tout, ceci est vraiment accessoire, à côté du formidable talent de Ray Charles.
Il est à noter qu’un film sur la vie de Ray Charles est sorti en 2005, Ray, avec Jamie Foxx dans le rôle de l’artiste, avec une performance plus que convaincante (il y est bien meilleur que dans Miami Vice). C’est assez fou cette tendance qu’ont les acteurs à se transcender en jouant des personnages comme celui-ci (pensez à Cate Blanchett avec Bob Dylan ou Marion Cotillard avec Edith Piaf)…
Enfin une news cinéma se diront certains, EENNNNFFFIIIINNNN !!! Et bah non, pas complètement puisque nous allons vous parler non pas d’une comédie musicale mais d’un film documentaire réalisé par David Guggenheim (qui avait déjà fait Une vérité qui dérange). Film-Docu dont le sujet ne sera autre que…la guitare éléctrique !
Alors attention quand on dit guitare éléctrique, le film ne va absolument pas vous raconter comment est fabriquée une guitare, quelles sont les différences entre une Fender, Gibson ou Ibanez…Non, non, le film va vous parler de la guitare éléctrique au travers de trois légendes du rock qui ont chacune marquer leur génération par un jeu nouveau ou des apports au son…Et là, tenez vous bien, parce que c’est du lourd au niveau des noms et il y en aura pour tous les goûts : Jimmy Page de Led Zeppelin, Jack White des White Stripes & The Edge de U2. Et ouais, rien que ça !
Ca vous branche à mort d’un seul coup là hein?! D’autant plus que le film promet quelques séquences sympas, puisque si on suivra chaque guitariste de son côté (notamment The Edge durant l’enregistrement du nouvel album de U2), on a déjà entendu parler d’un trio entre les 3 hommes, qui devrait faire mal, on peut en être quasi sûr! Le problème, c’est qu’on a pas de bande-annonce, pas de date de sortie, mais un site web qui vient de sortir, et qui se visite en allant cliquer sur les images plutôt sympas qui décorent cet article. Promis, on vous en reparle dès qu’on en sait un peu plus !
Xidius, qui attend impatiemment de voir le résultat.
La boite à idées étant toujours en quête de nouvelles histoires pour renouveller son univers riche & mondialement connu, tous les prétextes sont bons pour actualiser ou remettre à jour de véritables mythes! Dernier exemple en date, l’épisode Brand New Day de la saga Amazing Spider-Man qui a eu pour conséquence le redémarrage pur & simple de la saga…Mais n’allez pas croire que Marvel a toujours des idées à la con pour faire vivre ses héros et on a pu les voir très inspirés dernièrement avec de nombreux cross-overs ayant pour but d’avoir de grandes répercutions sur toutes les licences Marvel, tel que World War Hulk, ou le très célèbre Civil War, dont on vous parlera plus tard, le cross-over nous intéressant ici étant un certain House of M…
House of M est un cross-over écrit par Brian Michael Bendis & dessiné par un petit français, Olivier Coipel. L’histoire se déroule lorsque Wanda Maximoff, la fille de Magnéto plus connue sous le nom de Sorcière rouge, a tué une partie des Avengers et est devenue folle…Tandis que les X-Men et les New Avengers décident de la tuer et se rendent en mission pour accomplir cette tâche, la folie de Wanda et l’ampleur de ces pouvoirs modifient la réalité. C’est alors qu’ils se retrouvent tous dans un monde où Magnéto est roi et où les mutants sont majoritaires sur la planète. Heureusement Wolverine se rappelle de la réalité originelle et décide avec l’aide de Layla Miller, une petite fille pouvant rendre aux autres les souvenirs de la réalité, de reformer une équipe et d’éliminer pour de bon Magnéto & sa fille dans l’espoir de revenir à l’ancien temps…
La force de House of M est bien évidemment d’altérer durablement le monde Marvel en chamboulant celui-çi d’une forte manière. En effet, dans la réalité alternée créee par Wanda, les relations entre les personnages ne sont pas les mêmes et certaines personnes ont même disparues ! L’axe principal, composé de 8 tomes, est plutôt agréable à lire, notamment grâce au très bon dessin du français Coipel qui met ici de fort belle manière cette aventure en scène. Si Bendis ne signe pas là son meilleur scénario, il chamboule suffisamment les habitudes des lecteurs de la boite à idées même si malheureusement, le tout est très court. Certes, le récit est efficace mais si vous voulez vraiment approfondir ce nouvel univers, il faudra passer par les tomes spéciaux de Iron Man, Spider-Man, l’incroyable Hulk, les 4 fantastiques, Exiles & X-men Extra qui sont consacrés à la saga. Bien que le cross-over House of M ne change pas aussi profondément le monde de Marvel qu’un Civil War a bien pu le faire (il faut dire qu’il n’est pas aussi ambitieux), ce nouvel univers plaira aux fans inconditionnels de Marvel & tout spécialement des X-Men! On regrettera juste que cet intégrale House of M regroupe seulement la saga principale et non pas les dérivés, qu’il faudra trouver en kiosque…
La saga principale de House of M est d’ores & déjà disponible dans son intégralité en édition Marvel Deluxe chez Panini Comics au prix de 28 euros et une réédition est prévue début 2012 à bas prix !
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