Ça fait bien longtemps que je n’ai pas joué aux jeux vidéo. La raison ? Je ne sais pas. Mais je m’y suis remis petit à petit, d’abord en retrouvant Pokémon Jaune et en le finissant pour la 156° fois, puis en jouant à Left 4 Dead 2 avec xidius, et surtout en rejouant à la PSP. Je me suis donc remis à la console portable de sony, et j’ai rejoué à un jeux que j’avais depuis un moment, Killzone Libération, mais aussi en découvrant des nouveaux jeux PSP, comme Tekken 6 et Assassin’s Creed Bloodlines. Hé bien parlons en pour la peine !

Ah Tekken… Y-a-t-il besoin de rappeler ce qu’est Tekken ? Bon, pour les deux du fond, Tekken c’est une saga mythique, une licence qui aura marqué l’histoire du jeu vidéo. Tekken, c’est avant tout un jeu de combat sorti sur Playstation (la première du nom), et qui a, en quelque sorte, révolutionné le genre en terme de jouabilité, car chacune des 4 touches (crois, rond, triangle et carré) contrôle une seule partie du corps. Bon, l’histoire, parce qu’il en faut bien une, c’est une histoire de vengeance, de famille, et de karaté (les valeurs japonaises par excellence) (roooh ça va). Bon, en gros, un père (Heihachi Mishima) rend coupable son fils (Kazuya) de la mort de sa femme pendant l’accouchement. Il ira même jusqu’à le tuer. Sauf qu’avant de mourir, le jeune homme va faire un pacte avec le diable, pour survivre. Assoiffé de vengeance, il va partir de la maison familiale avec la ferme intention de revenir d’un jour revenir pour se venger. Mais Heihachi va alors organiser un tournoi, le Tekken Tournament, afin d’attirer son fils et le tuer une bonne fois pour toute. Et au fil des ans (parce que ouais, il va en organiser plusieurs), ce tournoi va accueillir des combattants des 4 coins du monde. Bon, ouais, je vous l’accorde, l’histoire n’est pas génial (et encore, elle est soft par rapport à celle du 6, où ya une histoire de guerre, de prise de pouvoir et tout et tout). Mais c’est pas vraiment ça l’important dans ce jeu, c’est les combats. J’ai joué à tous les opus, mais celui auquel j’ai le plus joué restera le 3, qui avait été, pour l’époque, une vraie claque. Puis après, j’ai un peu délaissé la série, pour mieux y revenir avec Tekken 5 Dark Resurection en 2006 sur PSP. Et aujourd’hui (fin là, récemment quoi) est sorti le 6ème opus sur PS3 mais aussi PSP. Et c’est toujours un plaisir de retrouver Jin, Hwoarang, Yoshimitsu, Paul ou Lili Rochefort (<3) pour mettre des taquets. Le jeu est beau, toujours aussi agréable à jouer (c’est à dire un pied dingue quand tu gagnes et une colère monstre quand tu perds) et riche question personnage/personnalisation. Les reproches qu’on pourrait lui faire est d’être un peu trop dure et de proposer assez peu de nouveaux modes de jeu. Mais bon, ça reste un très bon jeu de fight, qui plaira, et aux newbies, et aux fans.

En 2004, un nouveau FPS développé par Guerrilla Games sort sur PS2, j’ai nommé, Killzone. Après la guerre de Helghane, l’empire Helghast (des humains qui ont colonisé la planète Helghan et qui ont muté) lance une attaque contre Vekta, une colonie de l’Alliance Stratégique Interplanétaire. Voilà, donc vous incarnez Jan Templar, un capitaine de l’Alliance, accompagné de 3 soldats, qui vont essayer de repousser l’invasion. Sans un être un fan, j’avais bien aimé ce jeu, que j’avais trouvé très joli et immersif. Mais, contrairement aux autres grandes licences de FPS tel que Medal of Honnor ou Call of Duty, les développeur n’ont pas sorti un second opus l’année d’après. Mais c’est en 2006 que la licence revient, mais cette fois ci, sur PSP, avec Killzone Liberation. La console portable de Sony fraichement sortie (Septembre 2005) avait déjà vu des adaptations de FPS assez calamiteuses (MoH ou CoD, précédemment cités). Mais Killzone a parfaitement réussi sont arrivée sur la portable, par un changement total de gameplay. En effet, le jeu est passé de vue à la 1ère personne à une vue à la 3ème personne. Et à vrai dire, ça change tout. Le jeu est plus lisible, mais tout aussi immersif et beau pour de la PSP (même encore aujourd’hui). De plus, cela rajoute un côté tactique à la série, qui est le bienvenu. Le mode histoire est riche en missions et plutôt long, mais l’histoire reste basique. Le jeu raconte l’invasion du Sud de Vekta par le général Metrac de l’empire Helghast. Autant dire que niveau péripétie, c’est uniquement un enchainement de bataille. Mais ça reste un très bon jeu. A noté également la sortie en 2009 d’un second opus sur PS3, et un qu’un troisième est annoncé pour Février 2011, exclusivement sur la console HD de Sony (en même temps, c’est eux qui éditent, donc logique).

Bon, pour être tout à fait honnête, je ne connais pas vraiment l’histoire d’Assassin’s Creed, que ce soit celui là ou les autres opus sur consoles HD. Pour ma défense, il faut dire que j’ai très mal commencé avec cette licence. J’ai l’ai d’abord découverte avec le second opus, chez un pote, puis j’ai testé Brotherhood sur PS3 chez Micromania, avant d’attaquer cette version PSP, et en ce moment, je découvre le tout premier opus. Oui, j’ai commencé dans l’ordre, effectivement. Donc le seule chose que je peux vous dire c’est que on incarne Desmond, un jeune en 2012, qui va revivre des souvenirs de ses ancêtres dans différentes époques, dont le moyen âge (le premier opus et celui sur PSP), où l’on incarne Altaïr, mais aussi la renaissance, où l’on incarne cette fois ci Ezio. Et, vous l’aurez compris, les ancêtres de Desmond ont pour point commun d’être… des assassins. Voici pour l’histoire, mais si vous voulez en savoir plus sur les deux premiers opus, je vous propose de voir, ou revoir, les Xidius Présente qui leurs sont consacrés, ici et là. Enfin, je ne connais pas toutes les subtilités de l’histoire de cet opus, mais je peux surtout vous parler du gameplay. Qui est catastrophique. Même si la base, à savoir sauter de toits en toits, tuer dans le dos comme un bâtard, ou remplir des missions comme tuer des gardes discrètement ou infiltrer une forteresse, reste la même que les versions HD, pleins d’éléments viennent gâcher le plaisir de jeu et l’immersion. Tout d’abord, la caméra est absolument horrible, difficilement contrôlable pendant l’action, et qui rends les passages d’acrobaties ou de fuites illisiblent. La faute à quoi ? A l’absence d’un second joystick sur la PSP, présent sur les manettes de consoles HD, et qui permette de régler la caméra. Autre chose assez frustrante, le fait que l’on joue dans des niveaux. J’entends par là que, au contraire d’un GTA ou des épisodes d’AC sur consoles et PC, l’univers n’est pas ouvert. Donc, pour passer d’un quartier à l’autre, il faudra passer par des temps de chargement, assez long il faut dire. D’ailleurs, on se demande bien pourquoi les temps de chargements sont si longs tant le jeu est fade et assez moche. Bref, un passage sur la console portable de Sony assez raté, qui ne restera clairement pas dans l’Histoire.
Pour résumer ; Tekken 6 : pour les fans de la série, et même pour ceux qui ne connaissent pas d’ailleurs. Killzone Libération : le meilleur FPS sur console portable, tout simplement. Assassin’s Creed Bloodlines : Non. Juste, non.
Assassin’s Bigor 6 : Liberation