Posts Tagged ‘PS3

10
Juin
11

Les meilleurs trailers de l’E3 2011 !

Comme chaque année, à Los Angeles, ce déroule l’E3, l’un des plus grands salons consacrés aux jeux vidéo du monde. Et c’est lors de cet évènement que les différents éditeurs font leurs grosses annonces et diffusent des bandes annonces de futurs gros hit de l’année à venir. L’édition 2011 c’est achevé hier, c’est pour cela que je vous ai sélectionné les meilleurs trailers qui ont été présenté là bas loin. C’est parti !

On commence avec la bande annonce qui m’a le plus bluffé, alors que je ne suis même pas fan de la saga; celle d’Assassin’s Creed Revelations. La réalisation est mortelle, les textures et l’animation sont sublimes, le personnage à un charisme de dingue, et surtout, la musique (Iron de Woodkid) sublime le tout et donne une puissance magistrale à cette cinématique, qui donne tellement envie de ce plonger corps et âme dans cette saga.

Parmi les autres suites de grandes sagas vidéo-ludiques, on retrouve Uncharted 3 Drake’s Deception. Une bande annonce présentée à l’E3, avec un montage très hollywoodien, qui, en plus d’augurer de belles choses pour le jeu, donne sacrément envie de voir une adaptation ciné. En attendant, on se contente de cet efficace trailer.

Ça fait des années qu’on nous l’annonce, avec des cinématiques sublimes à chaque report, et on pensait que, enfin, le jeu allait sortir. Hé bien non, il n’y a toujours aucune date de sortie précise pour le MMORPG Star Wars The Old Republic. Mais, comme d’habitude, l’éditeur a diffusé durant cet E3 une nouvelle cinématique pour faire patienter. Et encore une fois, c’est beau à pleurer. The Old Republic, ou comment enterrer la prélogie en 3 cinématiques de 5 minutes.

Parce qu’il n’y a pas que les PC et les grosses consoles de salon dans la vie, il y a aussi les portables. Et si les jeux annoncés sur 3DS ne sont pas des grosses surprises (même si certains ont l’air très très sympa, comme le Mario Kart), Sony a enfin dévoilé définitivement sa nouvelle console portable, la PS Vita. Si le nom n’est pas très bien choisi (NGP était bien mieux), la puissance de la console et les possibilités qu’elle offre sont assez étonnantes. D’autant plus que, parmi le line-up de lancement, on aura le droit à un nouveau Little Big Planet, qui prend visibelemnt en compte toutes ses possibilités. Sortie fin 2011, si tout va bien.

Bon, et puis deux trailers pour le prix d’un pour finir, avec le retour de deux légendes de la plateforme. L’un est un hérisson bleu qui court vite et l’autre est un français qui un corps bizarre et des cheveux qui font une hélice. Je veux bien sur parler de Sonic avec Sonic Generation et de Rayman avec Rayman Origins. Deux personnages qui sont tombés bien bas ses derniers temps (Sonic n’a jamais brillé sur DS ou sur Wii et Rayman était bien occupé à observer la médiocrité des Lapins Crétins) et qui reviennent aux sources pour notre plus grand plaisir !

Voilà, un E3 sacrément riche (et encore, j’ai pas parlé de la Wii U), avec de très belles annonces, qui personnellement m’a redonné envie de jouer aux jeux vidéos. Les bandes annonces de cette article ont été prise chez Gameblog, qui a vraiment bien couvert le festival, avec beaucoup d’impressions et d’interviews, je vous invite donc naturellement à aller y faire un tour !

B3

09
Fév
11

Tron Evolution

C’est bien connu, chaque gros film à le droit à une adaptation en jeux vidéo. Tron L’Héritage ne fait pas exception à la règle, à la difference près que ce n’est pas une réelle adaptation. En effet, les équipes en charge du projet ont décidé de faire un jeu faisant le lien entre le premier Tron de 1982 et le nouveau. Tron Evolution a donc la lourde tache de nous raconter les évènements qui ont transformé La Grille en l’espace de 30ans. Une entreprise louable, mais reste à savoir si elle est réussie.

Il faut d’abord savoir qu’il y a 2 types de jeux qui sont sorti. Il y a d’abord les versions PC, PS3 et X360, qui raconte effectivement ce qui se passe entre les deux films, mais également les versions Wii (qui d’ailleurs, ne porte même pas le nom d’Evolution, mais celui de « Batailles du Damier« ), DS et PSP, qui ne sont en réalité qu’une compilation des épreuves si emblématique à la série, c’est à dire les courses de lumicycles, les combats de disques et les combats de tanks. J’ai pu m’essayer aux versions PS3 et PSP, et donc au deux types de jeux, mais à vrai dire, le constat globale reste le même: c’est pas terrible.

Commençons avec la version PS3. L’histoire est celle d’Anon, un programme crée par Flynn lui même, qui va tenter de mettre fin aux agissements d’Abraxas, un virus informatique très puissant. La Grille se trouve, à ce moment là, dans une situation difficile: les ISO, des algorithmes isomorphes dont l’apparition est totalement inexpliqué, sont découvert et la question de la cohabitation entre eux et les autres programmes se posent. Malgré ce scénario original, et cette volonté de relier les deux films, l’histoire n’est pas très interessante et le jeu n’est pas exempt de défauts. A commencer par les séquences de combats et de parkour, allègrement pomper sur Prince of Persia ou encore Miror’s Edge, qui ne sont pas fun pour deux sous. Reste les séquences en moto qui, là encore, sans être très originales, sont ultra fun pour un fan de la franchise. Globalement, les graphismes sont soignés, et l’univers est cohérent avec le film, même si on ne sent absolument d’évolution graphique au long du jeu. A noté également une option 3D, qui est plutôt bien foutu. Donc, pour résumer, ce Tron Evolution sur PS3 n’est pas une grosse claque comme le sont son père et son grand-père, mais juste un produit marketing qui, si il tente d’être original, ne l’est pas vraiment.

Passons à la version PSP maintenant, qui elle, est bien pire que sa grande sœur sur PS3. Fallait le faire. Le jeu ne tente même pas de raconter une quelconque histoire, mais est en réalité qu’une succession d’épreuves sans réelle saveur. Les combats de disques sont aussi, voir encore moins, intéressant que dans la version PS3, les batailles de tanks sont foireuses et injouables, et les courses de lumicycles, si elle restes correcte, sont beaucoup trop répétitives pour avoir un quelconque intérêt. De plus, les graphismes sont corrects, mais sans plus, et les cinématiques sont, choses rares, encore plus moches que les phases de jeu ! Si on ressent tout de même un travail effectué sur la version PS3, même si le résultat n’est pas à la hauteur des espérances, il est clair que cette version PSP a été baclé et réalisé par une équipe de stagiaire. Pas étonnant que le studio de dévelloppement ait fermé après ça…

Je voulais également vous parler de Tron L’Héritage. J’ai eu la chance de le voir en avant première, et j’ai pris une grosse claque dans la tronche tant le film est riche scénaristiquement, et bluffant visuellement et musicalement. Et puis j’ai regardé la dernière émission de cloneweb, présenté et réalisé par ce cher Xidius, où ce dernier présente et critique le film (à partir de 8:12). Et comme c’est presque exactement ce que je pense du film, au lieu de répéter les même arguments, je préfère vous faire partager l’émission en question. Et en plus, ya aussi une critique de Largo Winch (une critique de Karine devrait arriver bientôt d’ailleurs) et une critique du très attendu Black Swan, de Darren Aronofsky.

Tron Evolution, sur PS3, est donc un jeu pas très original, et qui ne rempli pas la lourde tâche qu’il s’était donné, à savoir créer un lien entre le premier Tron et le second, mais qui reste sympa à jouer pour tous les fans et de meilleur qualité que bon nombres d’adaptation de blockbusters que l’on a vu ses dernières années (quoi ? qui a dit Iron Man 2 ?!). Par contre, ne faites pas l’erreur d’acheter le version PSP, qui est une véritable daube. Gardez vos 30€ pour aller voir et revoir Tron L’Héritage, qui est par contre un très grand film.

Bigorneau Legacy

10
Jan
11

Call of Duty – Black Ops : Go to the 60’s !

Aujourd’hui, pour fêter mon grand retour sur Absolute Zone, j’ai décidé de parler de l’un des plus gros succès en matière de jeux vidéos : Call of Duty. Tout le monde, y compris les non joueurs, connait cette franchise très lucrative (en novembre 2009 l’éditeur Activision parlait de 55 millions d’exemplaires vendus tout épisodes confondus). Mais si la série a déjà fait ses preuves depuis ses débuts en 2003, le tournant a vraiment eu lieu avec les épisodes Modern Warfare 1 & 2 qui renouvelaient intelligemment cette saga. Adieu la seconde Guerre Mondiale, bonjour les nouveaux conflits du 21ème siècle avec une réalisation graphique digne de ce nom et un multijoueur prenant. Et puisqu’il a été décidé de sortir un Call of par an, tout le monde attendait avec impatience le nouveau jeu. Le hic ? Une brouille entre l’éditeur et le développeur ce qui fait que Black Ops est signé Treyarch. Et si une grande partie de la presse spécialisée affirme que l’élève est à égalité avec le maître, chez Absolute Zone on est pas d’accord.

Ce nouvel épisode a pour « originalité » de ne prendre place ni au cours de la seconde Guerre Mondiale ni à la même époque que les Modern Warfare. Ce coup-ci vous vous retrouvez plongé en pleine Guerre froide dans les années 60. Un choix assez malin qui va permettre au joueur de revivre quelques grands événements tel que la bataille de Khe Sanh. Premier point important : le jeu dispose d’un scénario plus fouillé que les précédents opus où l’on se contentait d’enchainer les missions sur fond de grosses menaces terroristes. Et si nous sommes encore loin du niveau d’un film et que quelques effets clipesques risquent d’agacer lors des cinématiques, l’histoire reste plaisante et motive à poursuivre l’aventure.

Pour le reste rien de bien original, il s’agit toujours d’un FPS avec de nombreuses missions spectaculaires. La durée de vie semble même légèrement supérieure aux Modern Warfare mais cela est dû au gros problème du titre, sa difficulté non volontaire.  Finir un Call of Duty en mode Vétéran (le plus difficile) n’est déjà pas chose aisée mais là c’est encore pire. Les alliés ne servent à rien, les ennemis visent comme des machines implacables et surtout réapparaissent à l’infini par moments ! Résultat il faut avancer face à des adversaires aux respawn illimités pour que vos alliés se décident à bouger.  Puisque je parlais plus haut de la bataille de Khe Sanh, ce passage risque de vous laisser quelques séquelles ainsi qu’à votre console et télévision. Le développeur Treyarch n’a pas le talent d’Infinity Ward et cela se ressent grandement sur le plaisir de jeu. De plus les missions sont beaucoup trop scriptées, vous n’avez pratiquement aucun liberté de mouvement. Exemple : une voiture ennemi arrive et je vise le chauffeur en pleine tête. Celui-ci ne meurt pas, il faut attendre qu’un allié fasse exploser la voiture. Bonjour la crédibilité.  Autre exemple : on vous dit de rester coucher lorsqu’une patrouille ennemie arrive. Et si vous comptiez rigoler en tirant comme un fou c’est raté puisque de toute façon votre personnage ne pourra pas se relever. Un défaut déjà moins gênant que les respawn à l’infini certes mais tout de même frustrant. Enfin, le moteur graphique commence à vieillir bien que l’on puisse considérer cela comme volontaire du fait de l’époque à laquelle se situe l’histoire.

(Prends ça dans ta gu**** Treyarch !)

Il serait injuste cependant de ne pas avouer qu’on s’amuse comme un fou au cours de la campagne solo. A noter une petite nouveauté, notre personnage peut plonger au sol en pleine course (à ne pas faire lorsque vous dévalez une colline). De plus le mode zombie se révèle très sympathique à plusieurs et le multijoueur jouissif au possible. Plus d’une dizaine de modes différents, des armes et capacités à acheter / améliorer, l’amusement sera égale au temps passé sur le multi. Généreux, Treyarch vous permet même de débloquer un mini-jeu old school plaisant. Cependant certains risquent de tiquer car il n’y aucunes nouveautés majeures pour un jeu à 70 €.

Call of Duty : Black Ops est donc un bon jeu que l’on aurait pu qualifier de très bon s’il n’y avait pas eu Modern Warfare entre-temps. Treyarch s’est contenté de reprendre le travail d’Infinity Ward en le transposant à une autre époque avec une ou deux améliorations. Il va donc falloir faire plus d’efforts la prochaine fois, notamment pour les freeze lorsque l’on passe les cinématiques. Si vous comptez jouer uniquement en solo, passez votre chemin ou dirigez-vous vers le marché de l’occasion.

Pottio, qui vous souhaite ses meilleurs vœux

Source image : CoD News et Jeuxvideo.com

07
Jan
11

Epic Mickey & Darksiders

En ces périodes de fêtes de fin d’année, vous avez surement reçu un jeu vidéo de la part de ce gros barbu rouge. Et bien figurez-vous que moi aussi. Grâce à ce cher vieux actionnaire de Coca Cola, j’ai pu jouer aux jeux Epic Mickey (sur Wii) et Darksiders (sur PC, mais aussi PS3 et X360)

Avant même qu’il ne soit aussi célèbre, Mickey entre par accident dans le laboratoire du sorcier Yensid, en traversant un miroir. Le sorcier était en train de créer un monde pour les personnages oubliés de Disney, dont Oswald le lapin chanceux, à l’aide de peinture magique. Profitant de son absence, Mickey voulut essayer, mais créa par inadvertance le Fantôme noir. La souris s’enfuit. Les années passent, et Mickey connait la gloire et la fortune. Un jour, toutefois, il est entrainé de force dans le monde créé par Yen Sid. L’univers créé par le sorcier avait pendant ce temps été dévasté par le Fantôme, avec l’aide du Savant Fou (The Mad Doctor).

Epic Mickey, sorti sur Wii en décembre 2010, est le fruit de la collaboration de Warren Spektor (Deux Ex) et de son studio de développement Junction Point Studios et du scénariste de comic book Peter David (Hulk, X-Factor). Comme résumé plus haut, l’histoire plonge le plus célèbre personnage Disney, Mickey dans un univers à la limite du glauque, très sombre, semblable à des limbes, complètements dévastées. Et c’est ce qui fait l’originalité du jeu. L’univers est très sérieux, presque adulte, bien loin des dernières aventures télévisuelles du personnage, et fait appelle à tout un pan de l’univers Disney maintenant oublié des mémoires et qui pourtant font parti des premières créations de Walt Disney. L’originalité est également présente dans le gameplay. Même si le jeu apparait comme un jeu de plateforme classique, l’utilisation de la peinture pour réparer des objets, ou du dissolvant pour en faire disparaitre, va amener plein de possibilités, et va même jouer sur la façon dont se comporte Mickey au fil du temps et sur l’histoire du jeu en elle-même. Car Peter David a écrit plusieurs fins possibles au jeu, en fonction de votre utilisation de la peinture, ou du dissolvant, ainsi que des décisions prises au cours du jeu. De plus, chaque niveau est ponctué par un mini niveau en 2D assez sympathique, qui apporte une fraicheur entre deux niveaux aux décors sombres. A noté également le soin apporté aux graphismes, très beau pour une Wii, mais qui prouve que la console de Nintendo arrive un peu en fin de vie, et que une Wii HD ne serait pas de refus.

Mais, malgré son lot de qualité indéniables, le jeu possède, hélas  un gros défaut qui plombe une bonne partie du plaisir de jeu : la caméra. Cette caméra se place très mal dans des phases de combats mais également dans certaines phases de plate forme assez délicates où vous devrez sauter avec précision pour éviter de tomber dans un bain d’acide. Non seulement, ce problème énerve, mais il donne un mal de crâne atroce, à certains moments, lorsque la caméra part dans tous les sens. Un défaut assez regrettable, d’autant plus que Warren Spektor a fait preuve d’une mauvaise fois assez déconcertante en disant qu’« il n’existe pas un jeu qui ne me pose pas problème au niveau de la caméra si vous me le laissez trente secondes dans les mains. »

Mais à part ce problème, Epic Mickey se révèle être un bon, voire très bon, jeu. Explorant le passé des créations de ce cher et grand Walt Dinsey, avec nostalgie et hommage, le jeu apporte du nouveau aux jeux de plate-forme. Un must have pour tous les fans de ce cher Walt.

Trahi par les forces du mal, Guerre (War dans la version originale), le premier Cavalier de l’Apocalypse, est accusé d’avoir violé la loi sacrée en provoquant une guerre entre les Cieux et l’Enfer. Dans le carnage qui a suivi, les forces démoniaques ont vaincu les Anges et se sont installées sur Terre. Traîné devant le Conseil Ardent, Guerre est condamné pour ses crimes et ses pouvoirs lui sont retirés. Déshonoré et seul face à sa mort, Guerre reçoit l’opportunité de retourner sur Terre pour rechercher la vérité et punir les responsables.

Sous les conseils de ce cher Xidius et profitant des soldes Steam, je me suis procuré, grâce aux sous du gros barbu (encore lui) ce Darksiders : Wrath of War, qui s’est révélé grandiose. Beaucoup de testeurs ont comparé le jeu à un mix entre Zelda et God of War, et ils ont bien raisons. Niveau gameplay, le jeu oscille entre phase d’exploration dans une Terre dévasté, où rodent différentes créatures de l’Enfer, et grosses bastons avec ces dites créatures. Sans être aussi démentiel dans la violence et le gore comme pouvait l’être GoW, Darksiders donne également dans les grandes scènes de combat assez impressionnantes, avec un Guerre monstrueusement charismatique et puissant. Et là où GoW devenait lassant dans ses combats démentiels contre des dieux de 12km de haut, l’essentiel du jeu ne réside pas dans les combats. Une grande partie du jeu est consacré à l’exploration des maps, villes complètements dévastés ou entres des Enfers, ayant pour but de trouver clés, objets ou âmes, qui seront utiles pour la suite de l’aventure. Le système d’amélioration et d’achats de compétences/armes est d’ailleurs plutôt bien foutu. A noter également que le niveau de difficulté globale est assez moyen, avec certains passages ou boss assez faciles, mais d’autres niveaux assez ardu niveau timming. Parlons de graphismes maintenant. Les designs du jeu ont été réalisés par Joe Madureira (Ultimates 3, Battle Chasers) et sont tous simplement sublimes. Les décors de New York dévastés sont de toute beauté, et retranscrivent bien l’ambiance de désolations. Le design des personnages et des créatures est également très réussi, cohérent et retranscrit bien le sentiment de frayeur et de puissance.

Vous l’aurez compris  le jeu est une vraie réussite, une vraie surprise, une nouvelle référence dans le genre action/aventure qui a su piocher dans le meilleur des genres. Bon, fin voilà, jetez-vous dessus, en plus il est disponible à une petite trentaine d’euros sur Steam.

Epic Bigor




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