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08
Jan
10

Découverte musicale : Malika Ayane

Et oui il m’arrive parfois de piquer la rubrique de Xidius pour pouvoir y ajouter mon petit grain de sel, ma petite découverte.

J’ai donc découvert très récemment (il y a 3 jours en fait) une jeune artiste italienne dont le premier album ne devrait pas tarder à sortir. Malika Ayane est donc le nom de cet album (ainsi que celui de l’artiste hein) et j’ai eu l’occasion de l’écouter un peu avant tout le monde (et légalement!).

Son premier single « Come Foglie » est déjà disponible sur Itunes. Au niveau des sonorités ça oscille gentiment vers le KT Tunstall, pour la sonorité mélodieuse et douce tout en restant suffisamment rock.

Malika Ayane est née à Milan en 1984 de père marocain et de mère italienne. Sa formation musicale a débuté au Conservatoire « Giuseppe Verdi » de Milan où de 1995 à 2001 elle étudie le violoncelle. Elle fait partie de l’ensemble du Chœur des Voci Bianchi du Théâtre de la Scala, dans lequel, en plus du rôle de choriste, elle exécute souvent des morceaux en soliste
En 2007, Malika rencontre Caterina Caselli qui voit aussitôt en elle une personnalité artistique avec un style original, frais et « épicé ». C’est Paolo Conte qui utilise cette expression pour définir la voix de Malika: « La couleur de cette voix est d’un orange obscur qui a la saveur d’une épice amère et rare ». Malika commence à travailler à son premier projet discographique qui voit le jour en automne 2008 et s’intitule « Malika Ayane ».
L’album, un projet de Caterina Caselli Sugar est un carrefour de talents: le producteur et arrangeur Ferdinando Arnò (auteur et compositeur de toutes les musiques et de presque tous les textes, à l’exception de « Fandango »), Pacifico (qui est auteur de deux titres « Sospesa » et « Contro vento »), Giuliano Sangiorgi (auteur de « Perfetta »), et le Maestro Paolo Conte, qui offre au Malika un morceau inédit « Fandango ». Malika est co-auteur de deux titres : « Briciole » et « Il Giardino dei Salici ».

Le disque se sert des contributions artistiques de quelques importants noms du milieu musical international : Tom Elmhirst (Amy Winehouse, Adele, Lily Allen, Moby, Maroon5 & Mary J. Blige), qui a mixé la plus grande partie des passages, Tony Cousins, (Massive Attack, Peter Gabriel, Robbie Williams), qu’il a masterisé l’album aux « Metropolis studios » de Londres et Vincent Mendoza (Björk, Joni Mitchell), qui a soigné l’arrangement de l’orchestre dans les passages « Il giardino dei salici» et « Perfetta ».
La publication de l’album est précédée du succès radiophonique du single « Soulwaver », encore plus connu dans sa version italienne « Sospesa », qui voit la participation de Pacifico. Consécration et popularité de Malika Ayane arrivent avec « Feeling Better » qui reste aux sommets des morceaux les plus transmis par les radios pendant plus de 4 mois : un record véritable pour un artiste émergent, et avec l’accueil chaleureux de la critique musicale qui titre : « Une voix est née. Malika Ayane avec une mélodie a ensorcelé Paolo Conte » (Gino Castaldo, Repubblica) ; « Malika Ayane chante Conte, souvenez-vous d’elle. Très bel album de début » (Marco Mangiarotti, Il Giorno) ; « C’est difficile de décrire ou d’attribuer un genre à la musique suspendue de Malika qui se meut entre la chanson italienne, les sonorités nu-soul et trip hop, avec une production moderne de reine de la musique black américaine et une atmosphère épicée du Sud du monde. Et dans ce paysage en nuances, elle se meut avec sûreté et style » (Michele Primi, Rolling Stone magazine).
« Feeling Better » devient un « tormentone » et son vidéoclip va en haute rotation sur tous les principaux sites musicaux. Le morceau que Malika Ayane présente au festival de Sanremo s’intitule « Come foglie » (texte et musique de Giuliano Sangiorgi), et il est produit et arrangé par Ferdinando Arnò.

Alors oui, je viens de vous copié/collé la bio du myspace officiel français (que je vous invite à aller voir), mais sachant que c’est moi qui l’ait créé (avec l’aide de oldesign), j’ai le droit.

18
Déc
09

Zelda : Spirit Tracks

Annoncé en mars, le dernier Zelda vient de sortir il y a quelques jours. De nombreuses images ont commencé à envahir le net montrant Link à bord d’un train.Etant fan de Zelda depuis Link’s awakening (pour moi le meilleur de la saga avec Ocarina Of Time), j’ai toujours été un peu réticent quant aux graphismes développé depuis Windwaker sur Gamecube, trop japanim à mon goût (je ne vous raconte pas ma joie devant Twilight Princess, même si la Wii ne se prêtait pas forcément au gameplay (trop répétitif)). J’avais été un peu déçu par Phantom of Hourglass, surtout à cause du scénario trop répétitif. Refaire toujours le même palais 12 fois a vite commencé à me saouler et je ne l’ai hélas jamais terminé.
C’est donc avec impatience et une certaine appréhension que j’ai essayé ce nouveau chapitre des aventures de Link.

Encore une fois et comme à chaque fois pour un volet de Zelda, Nintendo nous offre un scénario ultra complet et complexe. Des dizaines d’années après Phantom of Hourglass, le descendant du Link du précédent jeu (ce n’est pas clairement dit, mais on le comprend facilement) remplace son bateau par un train. Après une cérémonie au château d’Hyrule (qui a la même architecture que celui de Super NES, réjouissons nous), le méchant ministre capture la princesse Zelda car il a besoin de son corps pour ressusciter le maître des méchants (Ganondorf ?). Et à cause de lui, les voies sacrées de chemin de fer disparaissent. Nous devons donc, en compagnie de l’âme de Zelda, rétablir ces voies afin de pouvoir battre le ministre.

Les craintes qui me restaient de mon amer expérience de « Phantom… » se sont vite dissipées puisque au bout de 3 palais, j’ai pu voir que le coté redondant du « je refais le palais du bad guy étage par étage » a enfin disparu. On a donc plusieurs niveaux différents, de nouvelles armes. Mais pourtant, ce qui faisait la magie de Zelda a disparu. Ca doit être dû à mon côté fanboy de la chose, mais le fait de se balader de « ville » en « ville » ne me plait pas. Si je mets « ville » entre guillemet, c’est parce que justement. Quand on arrive dans un endroit, il y a 4 maisons. Fini Cocolint. Et encore une fois, Nintendo veut voir les choses en grand, trop grand puisque c’est finalement assez long et ennuyeux d’aller d’un point à un autre sachant que les interactions avec le trains sont assez pauvres.

Reste quand même que le gameplay est toujours aussi excellent, la DS est utilisée au maximum, c’est varié, très créatif, très très très joli (gros point sur le graphisme, c’est probablement ce qui se fait de mieux sur DS), et les références (peu nombreuses hélas) ravirons les fans de la première heure comme moi (je pense notamment à la première apparition de Zelda, avec la chanson de Marine en fond). Il y a ENFIN un moyen de combattre les armures! Et quel bonheur de pouvoir rejouer un instrument! Un excellent jeu en somme, mais long (dans le sens ennuyeux parfois, pas sur le nombre d’heure jouées) et il manque définitivement la petite touche qui fait Zelda (le dernier d’excellente qualité étant Minish Cap)

12
Déc
09

[Blogs]Absolute Zone, mais pas que…

En ces dures périodes de postages tardifs, alors que les blogs émergent de plus en plus, une partie de l’équipe d’Absolute Zone s’active un peu partout sur le web. Et puis bon, entre collègues, on s’aide! C’est pourquoi il est temps de parler des différents blogs de vos rédacteurs préférés.

  • On en parlait déjà ici, mais il est bon de vous rappeler ZeBazar, blog où notre ami Xidius et son copain Mr. Paul y parlent de tout et de n’importe quoi, mais surtout de n’importe quoi. Et c’est aussi l’occasion pour vous de(re)découvrir ses émissions »Le rapport Bazar » dont la dernière en date parle de Twilight 2 (évidemment). C’est très drôle, très bien écris, très bien monté (l’émission, pas Xidius) et toujours très bien argumenté. Bref, c’est à voir, lire et suivre!

  • Le Trumper’s Blog, allons-y Alonzo! où elle nous parle de crayons et d’autres trucs. On a la chance de voir, d’admirer ses créations, pour la plupart hors du commun (c’est pas moi qui le dit, c’est elle). Et donc en gros c’est quoi? On va donc pouvoir voir ses dessins, ses photos, mais aussi ses critiques de films, ses articles geeks et surtout sur Dr. Who.

  • Awesome-and-Awesome, mon blog à moi, créé avec mon copain Ludo suite à un voyage à dublin. Et on y parle de quoi? De geekeries, de filles, de cinéma (beaucoup, j’essayerais de mettre pas mal de critiques avant-première, dont celle de Max et les Maximonstres, déjà en ligne), de jouets, de musique, de télévision,de BD, de design, bref tout ce qui est cool, awesome, geek et casual.

27
Nov
09

Twilight 2 : New Moon, la critique

Vous pensiez avoir tout vu avec 2012 ? Vous pensiez avoir touché le fond de l’ennui et de la débilité avec Twilight 1 : Fascination ? Nous aussi, jusqu’à avoir vu le nouveau film de la saga la plus en vogue du moment : Twilight 2 : New Moon (ou Tentation en français).

Un petit retour en arrière d’un an est nécessaire. 2008 : le film le plus attendu par les adolescentes de 14 ans sort enfin au cinéma avec le beau Robeeeeeeeeeeeeeeeeeeeert Pattinson.
2009 : les adolescentes ont maintenant 15 ans, Robert et toujours aussi beau, sauf que là, on rajoute un mec, le beau Jacooooooooooooob.
Le premier avait encore le mérite d’être drôle (souvenez-vous de cette sublime scène en slow motion où Bella passe devant le ventilateur, scène qui nous a valu plus d’un fou rire), ou encore la magnifique scène de « baston » (entre guillemets hein, ils se jettent sur des miroirs ouuuuuuuuh).
Ici, rien n’est à sauver.
L’histoire : Après un terrible accident avec Bella, les Cullen décident de quitter Forks en promettant de ne plus jamais la voir. Lors de sa dépression, Bella se rapproche de Jacob qui se révèle être un loup-garou. Quand elle croyait avoir réussi à passer à autre chose, elle aperçoit le beau vampire lors de montées d’adrénaline, et ne sait qui choisir.
Et un soir, Alice Cullen revient à Folk.


Comme pour le un, tout est plus ou moins balancé en 15 minutes. L’introduction où Edward part parce que Bella s’est coupée avec du papier cadeau (ahahah) est plus ridicule qu’autre chose. La réalisation téléfilm (toujours moins pire que Fascination) pompe à peu près chez tous les mauvais réalisateurs, enchaînant les effets clipesques vomitifs (la scène de déprime où plusieurs mois passent, où les saisons changent par la fenêtre et où Bella reste dans la même position, avec les mêmes fringues est absolument immonde) et surtout va chercher chez notre copain Zack Snyder (si si, le réal du très mauvais Watchmen) pour les scènes de combat en slow motion dégueulasse, ridicule et inutile, accentuant alors le rythme ultra lent du « scénario ». N’oublions pas les 3 plans les plus ridicules de l’histoire du cinéma : Robert Pattinson, cheveux et veste au vent, sortant au ralenti (oui encore) de sa voiture ; Robert et Kristen courant dans la forêt tout deux vêtus de blanc, encore une fois, au ralenti (bis), et surtout, le plan pectoraux gratuit de Taylor Lautner. Et c’est là qu’on comprend le public visé.

Là où le très con Hypertension 2 visait les gros beaufs à coup de bagnoles et de plans nichons partout et complètement gratuit, ici, on nous montre des pectoraux (15 kilos de muscles il a pris le petit, il faut le vouloir) comme ça, au moment où on s’y attend le moins, et en gros plan en plus !
Quand on observe ce ramassis de vomi de 2h00 (une sieste est permise hein, vous inquiétez pas, vous comprendrez tout), on se demande où est parti tout le budget. Les effets spéciaux ont bien 5 ans de retard (ce qui est énorme quand on voit comment ça évolue d’année en année). La transformation en loup-garou (j’y reviendrais) est plus ridicule qu’autre chose et les apparitions d’Edward sont à pleurer.
Ah bah oui, je vous ai pas dit, le beau vampire n’apparaît presque pas dans ce deuxième film. Sauf sous des apparitions fantomatiques (encore plus fantomatiques qu’en vrai, farine sur le visage incluse) immondément laides dégoulinantes de CGI.

Parlons-en du scénario tiens. Comme je le disais, tout est balancé en 15 minutes. Dans Fascination, on nous montrait 4 bad guys tuant des marins, présentation d’environ 5 minutes, ici, on nous montre vaguement les Volturis, comme quoi ils sont super puissants et qu’ils ont les yeux rouges. Et le reste ? Bah rien. Un néant total de 2h, enchainant les scènes se voulant contemplatives et qui se révèlent plus que chiantes, le scénario s’emmêle dans plusieurs sous-intrigues toutes plus bidons les unes que les autres et au final, nous sort, cliché sur cliché (le passage au cinéma avec les faux films est d’un mauvais goût assez incroyable) des scènes redondantes et tirées sur de looooongs moments (je pense là à la fabrication de la moto).
Souvenons-nous que ici, les vampires peuvent boire du sang d’animal et surtout, au soleil, leur peau brille. Et on continue les coups de hache dans la mythologie monstrueuse, maintenant, les loups-garous se transforment en pleine journée, et à chaque fois qu’ils s’énervent.
Edward est donc totalement mis de coté, mais apparaît quand même histoire de plaire aux filles, Victoria et Jacob sont sous-développés au possible. Reste que Kristen Stewart s’en sort pas trop mal comparé au reste du casting, et quand on voit le résultat final. La bande originale n’est en soi pas mauvaise mais est balancée sans aucun rapport avec les scènes, et on a l’impression de regarder MTV

Là où encore, on aurait pu espérer que le message véhiculé dans le Chapitre 1 n’était que le fruit de notre imagination, exagéré au possible, on se rend compte que, finalement non.  Durant les quelques moments où Bella et Edward s’embrassent, Chris Weitz essaye d’établir une fausse tension sexuelle, et le plan final mérite facilement un Razzie à lui tout seul : « Je ne te mordrais qu’à une condition. Veux-tu m’épouser ? ». Comprendre : ne pas coucher avant le mariage.
Merci Stephenie Meyer

27
Nov
09

[Soirée]Vendredi 4 décembre aux Jardies

Je n’ai pas dans l’habitude de parler de soirée ici, sauf que là c’est un cas exceptionnel. En effet, les Jardies organisent tous les vendredis et ce à partir du 4 décembre de 18h30 à 22h30. Et si je vous en parle, c’est simplement parce que c’est organisé par votre fidèle serviteur, moi-même, Myster Mask.

Ca se passe aux Jardies, plus connu sous le nom de « chez Pignol », à Sèvres, 1 place Pierre Brossolette dans le 92.
Il y aura différents groupes et DJs, l’entrée est gratuite. Venez nombreux et n’hésiter pas à faire marcher le bouche à oreille.
(L’affiche a été réalisée par www.ol-design.fr )

20
Nov
09

Sarah Michelle Gellar, tueuse de vampire

6 ans après l’arret de la série qui a fait son succès, Sarah Michelle Gellar reste un modèle pour toute une génération.
Née en 1977 à New-York, c’est en 1981 qu’elle est remarquée par un directeur de casting dans un restaurant. Deux semaines plus tard, elle obtient son premier rôle.  Après quelques petits rôles, c’est en 1997 qu’elle connaît le succès en interprétant Buffy dans la série « Buffy contre les vampires », créée par Joss Whedon et adaptée du film éponyme. Depuis, ses apparitions se font moindres et surtout moins remarquables.

Après l’arrêt de Buffy contre les vampires en 2003, Sarah Michelle Gellar n’a pas réussi à crever l’écran. Pourtant, quand on prononce son nom, le succès est toujours au rendez-vous. Depuis la fin de la série, les vampires sont encore présent, plus que jamais dans cette période précédent la sortie du deuxième film de la saga Twilight, où Stephenie Meyer n’a pas hésité à revoir les origines des descendants de Dracula ainsi que celles des loups-garous. L’écrivaine crée d’ailleurs des remous dans l’océan (car au vu du nombre de personnes, c’est comme ça qu’on pourrait le qualifier) de fans de la chasseuse, en effet, ici, dans Twilight, les vampires ont leur peau qui brille au soleil et peuvent se nourrir de sang d’animal (à se propos, le créateur de la série a lancé lors d’une interview que Angel battrait à plate couture Edward (puisque ce sont les noms des vampires principaux de Buffy et Twilight).
De plus, on a aussi pu noter l’apparition de pas moins de 3 séries consacrées aux vampires ces dernières années : Moonlight (annulée à la saison 2), de Ron Koslow et Trevor Munson, True Blood, de Alan Ball et The Vampire Diaries de Kevin Williamson et Julie Plec.

Et ce n’est pas tout. The vampire slayer (car tel est le titre dans sa version originale) reste très présent dans notre vie. Régulièrement sort de nombreux jeux vidéo ou romans, intégrale et rééditions, tout ceci avec un succès qui n’est pas à démontrer. Mais surtout, le gros coup marketing de Joss Whedon a été de continué la série sous une forme que les aficionados apprécient plus que particulièrement, le comics. La saison 8 a déjà été éditée au complet aux Etats-Unis et commence à arriver en France, et celle-ci va d’ailleurs faire l’objet d’une série animée. Au vu du succès, l’annonce faite par Whedon a eu l’effet d’une bombe car il décide de tout rééditer, soit donc de sortir « Buffy, l’intégrale » qui reprend toutes les saisons. A noté aussi l’existence d’une série « Angel », basé sur le même vampire, où Sarah a fait quelques apparitions qui a connu cependant en France un succès moindre et qui s’est arrêté en 2004.

Sarah Michelle Gellar est malgré tout toujours l’objet de culte, des soirées sont souvent organisées, des nuits Buffy et bien sûr, tous les 31 octobre, de nombreuses personnes n’hésitent pas à revêtir leurs plus beaux costumes de la chasseuse. En parallèle avec sa carrière, elle s’occupe de de nombreuses associations qui luttent comme Make-A-Wish contre le cancer.  Icône de toute une époque, son personnage reste graver pour longtemps dans la mémoire des enfants de 1990.




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