Archive pour novembre 2010

30
Nov
10

Absolute Podcast #4

Bonjour à tous !

Voici un nouveau volet de l’Absolute Podcast. Aujourd’hui, je vous parle du nouvel album de My Chemical Romance, du blog Bouillon de Luxure, d’Harry Potter et les reliques de la mort, première partie, de True Blood saison 4, et je me permet un coup de gueule sur le dernier single des Black Eyed Peas, The Time, dirty beat.

Bonne écoute !

(Bon, comme d’hab, vous devez cliquer droit en enregistrer la cible du lien sous, vous êtes habitués maintenant nan ?)

Ps : Désolée pour ma voix, mais j’ai une angine et donc un peu de mal à parler :/

27
Nov
10

Mass Hysteria, Metal and other stuff …

Sur Absolute Zone, on aime pas mal de choses (souvent de la qualité d’ailleurs), on essaye de faire le tri mais cette fois, pourquoi pas découvrir un genre (ici, de musique) qui sort un peu des sentiers battus : aujourd’hui, on va parler Métal, et surtout Métal français avec le groupe Mass Hysteria !

Mass Hysteria est un groupe de Métal français qui depuis 1993, s’est imposé comme une référence pour les amateurs du genre. Ils ont 6 albums à leur actif et sont en pleine tournée pour promouvoir leur dernier en date : Failles. C’est à cette occasion que j’ai pu les voir en concert dans une salle préalablement chauffée par deux groupes en première partie : le groupe My Heroïne, originaire du bassin d’arcachon et le groupe Doyle qui, disons le franchement, envoie du lourd. Mais ensuite arrive sur scène Mass Hysteria, composé du chanteur Mouss, de Yann et Nico à la guitare, de Stéphane à la basse et de Raphaël à la batterie.

Inutile de décrire l’effervescence du public qui s’est déplacé depuis les quatre coins de l’Aquitaine pour assister à ce concert lorsque le groupe qui était en grande forme se mit à interpréter les premiers titres de leur nouvel album. Une des choses les plus remarquables lorsque l’on assiste à un concert de Mass Hysteria, c’est de voir la bonne humeur que le groupe dégage, une bonne humeur qui, associée à quelques solos de guitare et de batterie, met tout le monde d’accord. Du côté des paroles, les musiques sont des musiques à thèmes, qui font passer un message d’engagement (écologie, contre l' »aliénation » de la télé sur les gens, contre ce que le groupe appelle du « faux rock » tel que les BB. Brunes…) et un message positif (une chanson sur l’amour, une autre sur la paix, sur l’amour de la musique, quelque soient les genres…).

Mais là où le concert devient « Furieux », c’est quand Mass Hysteria fait marcher le fan service en interprétant leurs premières musiques qui donnaient plus dans le pop-rock et dans l’electro : ce  mix des genres cher au groupe est excellent, on ressent alors toute la puissance du groupe. Et à l’occasion de l’anniversaire du batteur le jour même, les filles du public ont été invitées à monter sur scène pour lui souhaiter un bon anniversaire comme il se doit, en dansant sur fond de musique electro-métal. Mass Hysteria est définitivement proche de son public, pour preuve la prise d’une photo de famille du groupe avec tout le public, qui s’est fait offrir du champagne sur fond de musique d’ AC/DC pour terminer le spectacle en beauté. En bref, Mass Hysteria se donne complètement en concert, n’hésitant pas à attirer de plus en plus de public en jouant sur la mixité des genres.

Marvel Métal Boy

24
Nov
10

Scott Pilgrim : une erreur de com’ pour la sortie en France

4 mois après sa sortie aux Etats-Unis, Scott Pilgrim vs The World débarque enfin dans les cinémas français… Quelques semaines après la sortie du film en DVD et Bluray ! Une erreur de communication qui pourrait entrainer un flop dans les salles obscures.

Le projet était prometteur. Adaptation des comics de Bryan Lee O’Malley, Scott Pilgrim Vs the world réunit un casting aguicheur : Michael Cera (Super Grave, Juno), Mary Elizabeth Winstead (Die Hard 4, Destination Finale 3) en héros, sous la direction d’Edgard Wright, et le réalisateur de Shaun of the Dead et Hot Fuz, le tout dans un film à l’ambiance directement inspirée des jeux vidéos de notre enfance. Les fans des comics, ceux des acteurs, ainsi qu’une bonne partie du monde geek attendaient le film avec impatience. En bref, la recette semblait idéale pour que ce soit un succès.

Là où le bat blesse, c’est au niveau de la distribution dans les salles en France. Dans un premier temps annoncée pour le mois d’octobre, pour des raisons (compréhensibles) de doublage, Universal a finalement repoussé la sortie au 1 décembre 2010, sans donner plus d’informations. D’après Alexandre Loos, corédacteur en chef d’Awesome & Awesome, explique le report de la façon suivante : « Ils ne savaient pas ce qu’ils avaient en main : ils n’étaient même pas au courant que les comics étaient édités en France. Ils ne connaissent pas le produit ». Autre problème : un manque de budget de communication-marketing. La promotion du film en France n’était donc pas leur priorité.

Qui ira voir Scott Pilgrim en France ?

A une semaine seulement du lancement du film dans les salles obscures françaises, le départ s’annonce déjà mauvais. Premièrement, le film ne sera diffusé que dans quelques dizaines de salles en France, majoritairement situées en région parisienne et banlieues : les personnes résidant en province risquent donc de ne pas pouvoir visionner le film au cinéma. Ensuite, le DVD et le Blu-ray, sortis le 9 novembre dernier, possèdent une version sous-titrée en français, disponible à l’import pour peu voir pas de frais. Sans compter bien sur les plateformes de téléchargement (légales ou non), sur lesquelles les fans, las d’attendre une sortie prévue pour les calendes grecques, se sont rués. Résultat, aujourd’hui la plupart de ceux qui attendaient le film ont déjà eu l’occasion de le voire. Si quelques fans irréductibles et autres curieux iront sans aucun doute voir le film au cinéma, mieux vaut ne pas attendre de surprise niveau box office. D’un des films les plus attendus de cette fin d’année 2010, Scott Pilgrim a chuté à la 25ème place du classement Allociné.

Loun

22
Nov
10

Franken Castle

Je me rends compte que ça fait quand même longtemps que je n’ai pas parlé et chroniquer un comic book. Donc aujourd’hui, on répare cette erreur avec un étonnant ovni venant pourtant de la série d’un personnage Marvel assez connu et qui a vu ses aventures adaptées au cinéma à deux reprises, je veux parler du Marvel Saga 8 sorti ce mois ci, consacré à la saga Franken Castle !

Pour vous mettre directement dans le bain, avant d’attaquer la chronique, un petit résumé de la vie du bonhomme au t-shirt avec une tête de mort ! Crée par Gerry Conway, Ross Andru et John Romita, Sr. dans les pages d’Amazing Spider-Man 129, le Punisher fait sa première apparition en 1974. Frank Castle, ancien mercenaire, voit sa famille assassinée par la pègre, et décide de les venger en éliminant mafias et malfrats des rues de New York. Lors de sa première aparition, il est engagé par le Chacal pour tuer Spider-Man. Mais il se rend compte que le Chacal l’a dupé et s’allie alors avec l’homme araignée. Après d’autres apparitions dans les pages de Spider-Man ou Daredevil, il va enfin avoir le droit à une mini-série en 1985, puis à une série régulière en 87 qui fera des bébés comme Punisher War Journal et Punisher War Zone (qui va donner son titre au film sorti en 2008). Après une série estampillé 2099, se déroulant donc dans la continuité 2099, ainsi qu’une autre série régulière, dont une qui fera à peine 18 épisodes, c’est Garth Ennis qui va donner ses lettres de noblesses au héros. Il commence en 1995 où il réalise avec Dougie Braithwithe le one-shot The Punisher Kills the Marvel Universe. Il lancera et écrira aussi une grande partie des épisodes de la série Marvel Knight: Punisher (ou le volume 6 de la série) avec le dessinateur Steve Dillon. D’ailleurs, tous ces épisodes sont compilés dans un Marvel Omnibus qui vient tout juste de sortir en France.

Il va ensuite réécrire les origines du personnages dans la mini-série Born, puis entamer dans la gamme MAX, une série un peu hors continuité où il va pouvoir ce lâcher sur le personnage, toujours avec son comparse Steve Dillon. Et c’est en 2007, à l’occasion du crossover Civil War, que Marvel va relancer une série régulière dans la continuité, Punisher War Journal, qu’il va confier à Matt Fraction, l’étoile montante de la Maison des Idées. Avec l’aide d’Ariel Olivetti, Howard-Caca-Chaykin et d’autres artistes, il va remettre le personnage de Frank Castle au cœur de l’univers Marvel. Après 26 épisodes, Punisher War Journal va laisser sa place à une série sobrement intitulé Punisher, relancée pour la 7ème fois, avec le scénariste Rick Remender aux commandes. Dans son premier arc, dessinés par le talentueux Jerôme Opeña, le scénariste va plonger le personnage dans le Dark Reign, période où Norman Osborn et d’autres bad guys contrôlent la défense des USA. C’est alors que Frank va tenter d’assassiner Osborn, mais Sentry va l’en empêcher. Cette tentative d’attentat va énerver Osborn qui va charger The Hood de le tuer. Il va dans un premier temps échouer, puisque Castle va faire exploser une planque de Hood. Ce dernier va passer aux choses sérieuses dans le second arc, dessiné par Tan Eng Huat, où il va ressusciter une galerie de méchants de dernière zone afin de s’occuper du mercenaire. Or, ce plan va également échouer, et Hood va alors ressusciter la famille de Castle afin de le prendre par les sentiments. Pensant que ce ne sont que des clones, Frank va alors re-tuer sa propre famille. Cet acte va le briser psychologiquement et c »est alors que, dans le cadre de The List, Osborn va envoyer Daken, le fils de Wolverine, finir le travail. Et il va le faire, puisqu’il va littéralement découper en morceau ce cher Punisher.

C’est dans cette situation que va débuter Franken Castle, le troisième arc de Rick Remender, qui sera accompagner ici par Tony Moore (Walking Dead), Roland Boschi (Ghost Rider) et Dan Brereton. Après deux runs très super-héroïque et dans la continuité, le scénariste va faire un virage total (mais pas à 360 degrés, hein Christine !) dans le genre de la série afin de la transformer en une série fantastique/horrifique. En effet, les morceaux de Castle découpé avec amour par le fiston à Logan, vont être récupérés par Morbius, de la Légion des Monstres, qui va le « recoller » pour le faire re-vivir et lui demander de l’aide car son peuple est en danger. Un homme du nom de Robert Hellsgaard s’est mis en quête d’éliminer tous les créatures inhumaines de la planète. Va s’en suivre une aventure complètement loufoque, dans un univers fantastique à l’ambiance assez glauque, avec des scènes assez gores et un aspect ridicule et un second degrés assumé mais sans pour autant tomber dans le parodique. Il faut tout de même reconnaitre à Remender son talent d’écriture et son courage pour avoir fait ce qu’il a fait, c’est à dire bouleverser totalement les règles, le statut  et le genre d’une série et d’un personnage ultra connu du Marvel-verse pour livrer quelque chose de différents de ce que tous ses prédécesseurs ont fait.

La série a perdu pas mal de lectorat et de fans à cause de ça, et ça peut se comprendre. Mais cela n’enlève rien aux qualités de cet arc, surement le meilleur depuis le début du run. En effet, en changeant presque tout dans la série, Remender se donne une totale liberté et n’est plus contraint par les évènements du Marvel Universe. Même si, lorsqu’il avait cette contrainte, il signait quand même des histoires passionnantes, ici il peut encore plus se lâcher. Et on voit très bien que le scénariste s’amuse énormément avec l’univers de la Légion des Monstres, en construisant un back ground à cette galerie de personnage tout droit sorti d’un film de série B. Mais Remender garde un aspect du Punisher, tout de même, c’est l’action. Entre des scènes particulièrement sanglantes où Frank Castle et ses nouveaux amis lâchent toute leur rage, où encore ce combat final dantesque, Tony Moore et Roland Boschi livrent des planchent d’un dynamisme incroyable et de toute beauuuuté, sublimé par une colorisation sans encrage des plus réussie. Une saga qui surprend par son originalité donc, un véritable ovni qui traverse l’univers Marvel et qui, franchement, fait très plaisir à lire.

Pour lire le run de Remender, il vous suffit de trouver les numéros 4, 6 et 8 (celui chroniquer ici) du magasine Marvel Saga. Il faut d’ailleurs souligner ici le travail de Panini, qui propose l’équivalent d’un TPB dans chaque numéro consacré au Punisher, et ce pour seulement 5,60€, et ça fait plaisir aussi !

Bigorneau War Journal

18
Nov
10

Green Lantern’s trailer !

Bon, je m’excuse du peux d’article que je poste en ce moment, je suis dans une période assez riche en devoirs, dissertations et autre réjouissance de l’école, du coup j’ai moins de temps pour le site. Mais pour (essayer de ma rattraper) je vais vous parler d’un des films de super-héros les plus attendus de 2011, dont les premières images ont fait leur apparition sur le net et qui ont fait beaucoup parler d’elles.

Vous l’aurez compris, le film dont je parle, c’est Green Lantern. Futur sérieux concurrent au symbole de l’Amérique de Marvel (Thor sortant en Avril), l’adaptation de ce personnage DC est prévu pour Aout 2011, et est particulièrement attendu par les fans. En effet, depuis que le scénariste Geoff Johns a repris les rennes de la série du héros vert, créée par Bill Finger et Martin Nodell, sa série s’est faite une place dans le top ten des meilleurs ventes de comics chaque mois, surtout lors du crossover Blackest Night (qui est publié en France en ce moment, on reparle bientôt) arrivant même premier quelques fois. Un héros plutôt populaire donc, pour le premier film de la Distingué Concurrence qui montre des ambitions presque aussi forte que celles la Maison des Idées et de son projet Avengers. Mais Green Lantern a tout de même 70ans de publications derrière lui, et il s’en est passé des choses. Mais comme tout premier film, celui ci va conter les débuts de Hal Jordan en tant que Green Lantern du secteur 2814. Mais on voit déjà dans le scénario (du moins ce qu’on en sait) qu’il y a une volonté de réunir beaucoup d’éléments dans ce film afin de synthétiser à l’écran cet univers ultra-riche pour habituer le spectateur. Dans le film, on retrouvera donc Hal Jordan, un pilote de chasse émérite, découvrir un vaisseau avec à son bord un certain Abin Sur, mourant, lui léguant son anneau et faisant de lui un Green Lantern. Il va donc tout au long du film découvrir OA la planète du corps des Green Lanterns, ses « collègues » (on peut d’or et déjà en voir quelques uns dans le trailer, dont Kilowog et Tomar-Re), mais aussi affronter Hammond et… Parallax, si on en croit le synopsis du film. On peut d’ailleurs voir furtivement quelque chose qui ressemblerait à l’apparition de ce personnage, mais ça m’étonne qu’il soit aussi discret dans cet bande annonce. Le scénario est écrit à huit mains, avec Greg Berlanti, Michael Goldenberg, Michael Green et Marc Guggenheim (dont certains reconnaitront le nom) et c’est à l’homme qui a redéfini le personnage de James Bond, j’ai nommé Martin Campbell, que l’on retrouve derrière la caméra pour réaliser ce space opéra/film de super-héros. Et devant, on y retrouve Ryan Reynolds (incroyable dans Buried) dans le rôle d’Hal Jordan, mais aussi Blake Lively (Carol Ferris), Mark Strong (Sinestro) ou encore Peter Sarsgaard (Dr. Hector Hammond). Voici donc, après plusieurs lignes de blabla, la bande annonce :

 

Sur twitter et ailleurs, on a pu lire énormément d’avis négatifs, soulignant la mocheté des effets spéciaux, et le côté cheap et kitch du film. Je trouve que au contraire, les effets spéciaux sont particulièrement bien foutu surtout pour du travail inachevé (ce qui est une info officielle), notamment le moment ou il montre son costume à son pote, car je vous rappelle quand même que le costume est uniquement réalisé en image de synthèse, ce qui donne ce côté seconde peau au costume. Ce qui me plait surtout dans cette BA, assez riche en images tout de même, c’est le côté space opéra super-héroïque mais également la « non prise de tête » (je sais pas si ça se dit) du film, un petit peu comme Iron Man. En tout cas, j’attends avec impatience ce film, tout comme les aventures du capitaine étoilé et du dieux nordique hein.

In brightest day, in blackest night,
No evil shall escape my sight
Let those who worship evil’s might,
Beware my power… Green Lantern’s light !

Green Bigorneau.

17
Nov
10

Absolute Podcast #3

Bonjour tout le monde, et désolée, désolée pour le retard !
Voici le 3ème volet de l’Absolute Podcast ! Je parle de Misfists, de la BO de Tron, du bouquin d’Indochine et de Saw 3D !

(EDIT: si vous voulez le télécharger, cliquez droit et enregistrez la cible du lien sous ce lien ici là.)

Bonne écoute !




Agenda du mois.

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