Implacable univers que celui du business ciné, avec des studios sans scrupules prêts à déverser du fric généreusement dans de sacrées daubes parce qu’il se trouve que, et c’est le plus grave, ça marche. Quand les studios financent la nullité, alors que des jeunes talents attendent derrière, dans le but de ramasser le plus de brouzoufs possible, ça donne des séries à rallonge qui partent d’une petite surprise indépendante pour vite se transformer en rouleau compresseur marketing véritable aimant à ados boutonneux en manque de sensations fortes et de neurones. Dernier champion toute catégorie, SAW qui se voit carrément adapté en jeu vidéo. Attention chérie, ça va trancher…
Xidius