Le code d’honneur. Indispensable dans la vie pour tout être voulant être estimé digne de confiance et comme étant quelqu’un de responsable, de respectable et bien sûr d’honorable, le code d’honneur est un outil qui permet la cohésion et le respect du travail de chacun. Comme vous le savez, certains rédacteurs d’Absolute Zone n’en ont pas et en ont tellement rien à secouer que voler les rubriques des autres sans même leur demander la permission serait en passe de devenir le sport local. Mais ne fléchissons pas devant les faibles, et montrons une fois de plus que nous tenons la barre mieux que quiconque dans nos domaines. D’ailleurs, le groupe dont on va parler aujourd’hui, The Young Republic… Bah ils en ont sûrement un, de code d’honneur !
D’ailleurs, quand on sait que le groupe est constitué de 8 membres et que ces derniers sont musicalement très productifs depuis le début de l’année, cela ne fait aucun doute. 8 musiciens venant du Tennessee donc et qui sont actifs depuis 2006, même si tout à vraiment démarrer cette année, avec pas moins de deux Ep et deux albums à leur actif, dont un prévu pour le mois d’octobre! Mais en attendant la nouvelle fournée, autant se concentrer sur la première, à savoir 12 Tales from Winter City, sorti début 2008!
On ne va pas y aller par 4 chemins, 12 Tales of Winter City est principalement un album de ballades. Mais attention car le groupe regorge de subtilités et vous offrira au travers de ses sonorités folk quelques surprises bien venues. Disposant avant tout d’un large panel d’instruments, tel le piano, le violon ou bien sûr cette bonne vieille guitare acoustique, The Young Republic est tout d’abord le parfait remède contre la mauvaise humeur, avec des chansons envoûtantes de simplicité et de beauté. Si Everybody Looks Better in Black and White (A Reference to Film) démontre parfaitement qu’on a pas besoin de 150 accords pour faire naître l’émotion, on croisera au détour de Modern Plays des touches de pop ou bien de country dans Excuses to See You. Et si She Comes and Goes laisse place à une petite touche lyrique tout en cordes du plus bel effet, le groupe ne fait jamais aussi bien ressortir son folk que sur Paper Ships, l’une des chansons les plus rythmées du disque. Mais abordez ce disque sans citer le superbe Goodbye Town, conclusion sucrée sentant bon la pop américaine des 50’s qu’on ne serait pas surpris d’entendre dans un conte de fée tout droit sorti de chez Disney, ce serait ne pas avoir retenu le principal et ce qui fait la musique de The Young Republic : un savoureux et doux moment supprimant la mauvaise humeur en deux notes et sentant bon la mélancolie. Et si vous êtes déjà amoureux du groupe après avoir écouter le disque en cliquant sur sa pochette, vous serez heureux d’avoir un petit aperçu du prochain album Balletesque prévu pour le 12 octobre, en téléchargeant gratuitement et légalement deux extraits : The Alchemist & Black Duke Blues. Et surtout, ne me remerciez pas moi… Remerciez The Young Republic !
Xidius, qui s’apprête à dire Goodbye Town…
Merci Beaucoup pour le blog,
Je suis un citizen de France et je suis heureux quand les gens en France ecrivent de ma bande. Pardon ma pauvre Francaise mais je n’ai pas parlé de français depuis longtemps. Bon Chance et au revoir.
Julian